3ème Interlude : Le Chili et la Sécurité

Ola,

Depuis maintenant 2 semaines au Chili, je me dois de vous faire part de mon inquiétude concernant ma sécurité.

Car si la Colombie est très connu pour ces cartels de drogue, si le Brésil est lui connu pour ces favelas à haut-risque et bien le Chili n'est pas épargné.

Ainsi il n'est pas rare que je croise de dangereux brigands quand je sillonne les rues Chiliennes.

Vous vous dîtes que je suis une lopette sûrement et vous avez peut-être raison, mais croyez-moi ces types semblent dangereux au plus haut point.

D'ailleurs les journaux télévisés et papiers parlent beaucoup de ces activistes sûrement rattachés à une branche d'Al-Qaïda.

Afin d'appuyer mes propos, j'ai pris, au péril de ma vie, une photo d'un de ces membres afin de vous prouvez la véracité de mes propos :

Ah vous voyez il est menaçant non ? Quoi ? On dirait un enfant ! Pfff... Vous connaissez rien au terrorisme !

Tout ça pour dire que ce voyage est vraiment barbant... Je rajouterais même que je vis sur le fil du rasoir chaque jour, ou non justement...

Je sais que j'aurais du garder cette photo enfouie dans mon PC, mais mon côté égoïste refuse ! Ne vous poilez pas trop (nouveau jeu de mot...).

Ps : Je me suis coupé les cheveux et rasé depuis contre la modique somme de 5,7€ à Santiago...

2nde Interlude : Pablo Neruda

Un nouvel interlude après celui concernant la Diagonale des Fous, celui-ci est consacré à Pablo Neruda.

Pourquoi lui ? Car Valparaiso est une ville dans laquelle il a vécu et où il a fini ces jours. D'ailleurs un musée lui est consacré. C'est également un poète que je cite dans ma marge à gauche. Ce poème est magnifique, fait beaucoup réfléchir, ce fut le cas pour moi... Donc je vais le partager avec vous, certains d'entre vous doivent le connaitre.

Il meurt lentement

celui qui ne voyage pas,

celui qui ne lit pas,

celui qui n'écoute pas de musique,

celui qui ne sait pas trouver

grâce à ses yeux.

Il meurt lentement

celui qui détruit son amour-propre,

celui qui ne se laisse jamais aider.

Il meurt lentement

celui qui devient esclave de l'habitude

refaisant tous les jours les mêmes chemins,

celui qui ne change jamais de repère,

Ne se risque jamais à changer la couleur

de ses vêtements

Ou qui ne parle jamais à un inconnu

Il meurt lentement

celui qui évite la passion

et son tourbillon d'émotions

celles qui redonnent la lumière dans les yeux

et réparent les coeurs blessés

Il meurt lentement

celui qui ne change pas de cap

lorsqu'il est malheureux

au travail ou en amour,

celui qui ne prend pas de risques

pour réaliser ses rêves,

celui qui, pas une seule fois dans sa vie,

n'a fui les conseils sensés.

Vis maintenant!

Risque-toi aujourd'hui !

Agis tout de suite !

Ne te laisse pas mourir lentement !

Ne te prive pas d'être heureux !

Chili : Valparaiso

Je vous quittais en vous indiquant dans l'article sur Santiago que je ne savais pas pourquoi la ville de Valparaiso était référencée sur la liste UNESCO, et ben... Et ben avant un peu de suspense, je vais commencer l'histoire par le début !

Jeudi 12 Avril, je prends mon bus Santiago-Valparaiso, 120 kilomètres, 2,42€ le ticket de bus et après 2h de trajet je débarque dans cette ville bordant l'océan Pacifique. Je dois y rester 2-3 jours.

Première impression : "Hummm c'est moche, affreux, dégueulasse... Qu'est-ce que je fous là bordel ? Il est où le prochain bus pour Santiago ? Je veux rentrer à la maison !". Je me mets une gifle (et non autre chose légèrement dérivée) et reprends mes esprits. C'est toujours aussi moche cependant !

Pour vous décrire, la ville est dégueulasse, et il y a une différence énorme entre Santiago et Valparaiso qui est pourtant la 2ème plus grande ville du pays, j'ai l'impression que j'ai changé de pays. 

Je décide de partir directement chercher mon Auberge de Jeunesse car les 25 kilos sur mon dos me tiraille quelque peu. Je trouverai mon bonheur à l'Hostal Acuarela moyennant 12€ la nuit. 

Je repars directement à l'assaut de la ville et je sais pas pourquoi je vois cela différemment, à croire que le poids sur le dos et l'incertitude d'être une nouvelle fois à l'arrache sur le logement me biaisait visuellement. Je me rends compte surtout que Valparaiso ressemble plus à la représentation que je me faisais du Chili et que Santiago n'était qu'un leurre !

Surtout je retrouve à Valparaiso ce qui me fait aimé le Portugal, ce côté pittoresque, ces villes et villages défraichis par le temps et par le manque de moyens pour réhabiliter le tout, ces marchés clandestins dans les rues, ce petit sentiment d'insécurité lié à la pauvreté.

Le centre-ville est vilain et ne mérite pas un titre UNESCO, alors il ne peut s'agir que de son port ou de ces quartiers en hauteur à flanc de montagne qui vaut à Valparaiso ce titre. Je file au port et bien ce n'est pas grâce à ça non plus ! Direction les "Cerros" ces petits quartiers de Valpo qui peuvent se grimper en se baladant ou par les 15 petits funiculaires de la ville et là je comprends mieux ce titre UNESCO : tout est coloré, on retrouve beaucoup de peintures ou tags sur les murs des maisons et surtout on délaisse l'ambiance sur-bondée du centre-ville pour quelque chose de plus intimiste. Ces quartiers sentent également la pauvreté car si on peut croiser de majestueuses maisons, il y a aussi pas mal de petites "favelas"...

Et je vais passer finalement 4 jours à flâner dans ces rues à la découverte des petits quartiers, mon coup de coeur revenant au Cerro Bellavista, une vraie pépite "d'oeuvres" à chaque coin de rue. Pour moi le plus sympa également pour profiter de cette ambiance est en coucher de soleil ou même de nuit (même si pas recommandé car dangereux pour les touristes...). Bref Valparaiso, j'ai aimé !

J'en profite également pour me reposer à l'hostal en me faisant des journées pas trop chargées afin de récupérer de plus de 2 mois de fatigue du voyage. Bien ce sympa cette hostal et beaucoup d'échanges entre les propriétaires et gens du voyage comme moi.

Mise à jour du 17 Avril : Je peux maintenant ajouter que je sais ce que c'est qu'un tremblement de terre, puisque Valparaiso a été sécoué cette nuit par un séisme de niveau 6,7 sur l'échelle de Richter. Rapide mais impressionnant de sentir la terre bouger sous ces pieds... J'imaginais cela plus puissant pour ce niveau cependant. :)

Prochain épisode : Un long périple en bus de 2000 kilomètres vers le nord et le désert d'Atacama.

Chili : Santiago

Et voilà l'article sur Santiago !

Santiago est une petite ville de 5,2 millions d'habitants, et est également la capitale du Chili. Elle se situe au centre de ce long pays de 4300 kilomètres.

J'ai été surpris par Santiago pour dire vrai. Si je trouve bien la chaleur et la vie hispanique, je m'attendais à une ville, comment dire, moins développé. Je m'explique ici on trouve des buildings, la ville est propre, le centre-ville est rempli de commerce, on ressent également le stress des chiliens qui vont au boulot, ... Bref si on enlevait cette ambiance hispanique, on pourrait se croire en Europe.

La ville est également super sécuritaire et je pense même dire que je me suis jamais autant senti en sécurité quelque part. Il y a des carabineros (policiers) à chaque angle de rue et pas mal d'agent de sécurité opérant pour les commerces et les entreprises.

Pour être franc, je ne trouve pas la ville très jolie ! Mais il y a quand même pas mal de petits bâtiments à découvrir. Cependant je suis content d'être là, de ressentir toute la chaleur des chiliens et d'entendre parler l'espagnol. Pas que je sois blasé de l'anglais mais mon oreille préfère entendre l'espagnol c'est tout.

J'ai pas mal vagabondé dans toute la ville afin d'en visiter les moindres recoins et j'ai du faire en 3 jours pas moins de 60 kilomètres de marche. Pour moi le plus sympa fut le Cerro San Cristobal, petite butte qui surplombe Santiago à l'instar de La Bastille à Grenoble. C'est réellement en haut que j'ai pris conscience de la pollution qu'il règne sur Santiago, on m'en avait parlé, je l'avais pas forcément ressenti, mais là visuellement c'est flagrant ! Je vous laisse en juger par vous-même sur le panorama suivant.

Après 4 jours passés à Santiago, je pars à présent à Valparaiso, ville classée UNESCO mais je sais pas pourquoi, je vais enfin savoir ! A bientôt !

Chili : Histoire d'une arrivée et Santiago

Ola !

Et me voilà donc en Amérique du Sud et plus précisément au Chili pour cette 3ème étape !

Mais avant de mettre les pieds sur le sol chilien, j'ai du me confronter à un long voyage de 3 jours. Tout a commencé vendredi 6 Avril par la restitution de mon véhicule à Christchurch en Nouvelle-Zélande à 9h du matin, puis direction l'aéroport où j'ai mon vol pour Wellington le lendemain à 16h, donc nuit sur le carrelage de l'aéroport de Christchurch. Le samedi 7 Avril, je prends mon avion pour Wellington, qui se situe toujours en Nouvelle-Zélande car j'ai mon vol pour Sydney le lendemain à 6h10 donc nuit sur un canapé de l'aéroport de Wellington. Le dimanche 8 Avril, je prends mon avion pour Sydney et arrive là-bas à 7h50 après 3h40 de vol (on commence à voir que je joue avec les fuseaux horaires...). A Sydney, j'ai mon avion a 9h25 qui m'emmène à Auckland en Nouvelle-Zélande où j’atterris à 14h10 après 3h de vol (une nouvelle fois les fuseaux horaires sont de la partie...). Et à 16h10 du dimanche 8 Avril, je prends mon avion direction Santiago du Chili pour un voyage aérien de 12h. J'arrive à Santiago du Chili le dimanche 8 Avril à 12h40, soit avant 4h avant l'heure de départ d'Auckland ! Et là j'ai vraiment joué avec les fuseaux horaires. Je suis sur que vous êtes perdus ? Normal. Bref ma journée du Dimanche 8 Avril a duré 40h...

Le but de toutes ces manoeuvres et escales n'est pas parce que je kiffe les avions et les nuits dans des aéroports, non c'est juste pour économiser de 200 à 400€ sur mon billet d'avion selon l'aéroport de départ. Par exemple le billet que j'ai pris m'a couté 1050€ (Aïe aïe aïe...) et si j'étais parti depuis Auckland par le même vol que celui que j'ai pris cela m'aurait couté 1450€... C'est incompréhensible je sais, mais plus tu voyages, et moins tu payes cher... J'ai même cherché des avions transitant par l'Asie pour avoir le billet gratos mais j'ai pas trouvé...

Bref tout cela pour dire que je suis bien arrivé à Santiago et que je suis tout simplement très fatigué entre les nuits très courtes dans les aéroports, les voyages en avions qui sont inconfortables pour mon 1m97, et ma journée de 40h du dimanche 8 Avril. Mais après les 21 dernières nuits passées 17 fois dans une voiture, 3 fois dans un aéroport et 1 fois dans un avion, je vais enfin dormir dans un bon lit au sein d'un charmant Backpacker !

Je vais donc élire domicile à Santiago jusqu'au Jeudi 12 puis je remonterais paisiblement le pays vers le Nord afin d'aller rejoindre la frontière Bolivienne qui sera ma 4ème étape. Je me laisse 23-24 jours pour y arriver.

Voici déjà quelques photos de Santiago, qui fera l'objet d'un article plus long.

Nouvelle-Zélande : Le bilan

Et me voilà revenu à l'aéroport de Christchurch, synonyme de la fin de mon voyage en Nouvelle-Zélande. Les trois derniers jours ont été paisible et j'ai passé entre autre une journée à Hanmer Springs dans les piscines thermales à me relaxer. Je suis donc frais pour passer à l'étape suivante. Mais avant je veux faire un bilan de ce mois passé en Nouvelle-Zélande.

Pour résumé : J'ai adoré ! L'île du Nord est vraiment jolie et certaines étapes sont incontournables selon moi : Tongariro, Mont Taranaki, Caves de Waitomo et Rotorua. Après je n'ai pas eu le temps de tout faire par faute de temps. Mais ces étapes là furent sympas !

Concernant l'île du Sud, c'est juste "Waouh !!!", hormis la pointe Nord-Est que j'ai trouvé pas indispensable (sauf pour ceux qui veulent se mettre du bon pinard dans le gosier !), le reste est énorme !

En voici ma compilation sous forme de J'ai aimé / J'ai pas aimé.

J'ai aimé :

- La beauté et la diversité des paysages : Passé d'une montagne à la Mer en quelques minutes

- La faune : Lions de mers, otaries, pingouins, kiwi, etc...

- Les néo-Zélandais : Accueillant, souriant, etc... Et surtout si tu as un souci, il te laisse pas dans la merde ! J'ai eu 3 pannes de batteries, en 5 minutes à chaque fois j'avais plusieurs personnes à mon secours

- La facilité : Je m'explique. J'ai fait les 2 îles en voitures de location, je trouve que tout est superbement bien fait pour se déplacer, se ravitailler, dormir... Les deux îles ont vraiment été conçues pour qu'on puisse les visiter facilement.

- Les randonnées : Il y en a partout ! Et surtout il y a pleins de parc nationaux tous différents les uns des autres. Abel Tasman et Milford Sound restant le summum selon moi. Tongariro et Mont Taranaki en ascension étant classe aussi.

- Le beau temps : Je suis chanceux sur ce point, 1 jour de pluie à Taupo et 1 jour de pluie dans le Marlborough. 1 jour de pluie dans la péninsule d'Otago mais je trouve que le temps se prêtait tellement bien aux paysages que j'en étais content !

J'ai pas aimé :

- Le prix de l'essence : J'ai fait plus de 5500 kilomètres donc ce budget fut considérable. Mais c'est juste pour dire qu'il y a un point négatif !

En bref, je recommande fortement ! Le mieux aussi c'est d'avoir un bon budget pour les activités histoire de se faire une croisière dans les Milford, l'ascension du Franz Josef Glacier, du parapente à Queenstown, du rafting aux Caves de Waitomo, du saut à l'élastique depuis la Sky Tower, etc etc...

Je pense que je pourrais revenir pour faire tout cela qui aujourd'hui ne pouvait pas rentrer dans un budget voyage comme le mien !

Nouvelle-Zélande : Abel Tasman

Et me voilà donc à l'Abel Tasman National Park après un arrêt à Nelson, ville sans réel intérêt je trouve.

L'Abel Tasman est le parc le plus connu de Nouvelle-Zélande avec les Milford d'après les personnes que j'ai pu interroger, car oui disons-le à présent ma langue maternelle est l'anglais. D'ailleurs je parle tellement bien anglais, que les néo-zélandais ont du mal à me comprendre tellement je vais vite et à l'inverse les néo-zélandais font tellement de fautes que j'en ai du mal à comprendre... A moins que le problème soit moi... Bref, je me perds !

L'Abel Tasman était côché dans mon planning depuis mon départ de France puisque d'après un bouquin de Treks sur les plus belles randonnées du Monde, et bien l'Abel Tasman Coast Track en faisait parti ! Je m'attends donc à voir de belles choses ! Le circuit linéaire fait 51 kilomètres et se parcoure en 4 ou 5 jours. 

Et ben, c'est top comme randonnée ! Pas difficile du tout puisqu'on sillonne le front de la Mer de Tasman en passant de crique en crique via des petits vallons. Chaque crique et baie sont plus belles les unes que les autres et cela fait du bien de ne pas faire de randonnées où il y en tout le temps du dénivelé (en même temps, c'est moi qui le choisi...).

Je passerais 2 jours sur le parcours et afin d'éviter de passer une nuit payante dans un refuge, je fais le premier jour la fin du parcours sur 20 kilomètres puis retour sur mes pas pour aller à ma voiture et le lendemain je vais au départ de la randonnée où je fais 15 kilomètres puis retour à la voiture. Il me manque donc une petite quinzaine de bornes pour pouvoir dire que j'ai fait tout l'Abel Tasman Coast Track, mais ce n'est pas grave, je pense avoir saisi ce qu'il y avait à voir.

Un conseil pour des personnes qui souhaite aller en Nouvelle-Zélande et qui n'ont qu'un jour pour faire l'Abel Tasman, faites la fin du parcours, c'est le plus joli !

Prochaine étape : La fin de la Nouvelle-Zélande et son bilan !

Nouvelle-Zélande : Westcoast

Je ne dirais pas que c’est la plus belle route du Monde car j’imagine qu’il y a mieux… En tout cas c’est de loin la plus belle route de Nouvelle-Zélande. Ce fut quasiment 600 kilomètres ininterrompus de paysages sublimes.

Je ne vais pas écrire des tartines concernant cette route car à part vous dire qu’elle était goudronnée, qu’il y avait une ligne blanche des fois continue, des fois non, etc… Je ne vois pas ce que je peux raconter. Ah si des fois on traversait des villes, c’était chiant, car cela coupait avec les merveilleux paysages !

Voici une petite sélection de ce que j’ai vu durant ce road trip : Montagnes, cascade, océan, Pancake Rocks, lacs, …

Prochain étape : Nelson, point de départ vers l’Abel Tasman National Park et les Marlborough.

Nouvelle-Zélande : Queenstown & Franz Josef

Après la fabuleuse étape de Milford Sound, me voilà à Queenstown. Cette villede 11 000 habitants est très connu en Nouvelle-Zélande pour être la capitale des sports extrêmes/sensations : Parapente, Jet Boat, VTT de Descente, Ski, etc etc…

Ce qui en fait une charmante petite ville jeune et dynamique où son petit centre-ville est animé entre commerces et restaurants et le soir par les bars.
Elle est également très connue pour les agitations de 2008 où un français avait fait des siennes. Cet évènement avait été nommé par la suite : « La Bagarre de Guigui ». Pour la petite histoire, il y aurait un épisode équivalent à Lisbonne dans le Bairro Alto, en Italie à Vaujany et au O'Callaghan à Grenoble, info ou intox ?!

Bref passons…

A Queenstown, j’ai pas mal flâné car la fatigue lié aux différentes randonnées des derniers jours et la route commence à me claquer quelque peu !

Je suis malgré tout monté en randonnée à la Skyline Gondola qui est le point de vue qui domine la ville et qui est également le point de départ de pas mal d’attractions (VTT, Parapente, Luges sur Asphalte). En haut la vue est plus que sympa et le soleil qui règne encore aujourd’hui me permet d’en profiter.

En redescendant, je m’amuserais à voir passer les VTTistes et à voir quelques boites sympas ! J’en profiterais pour prendre quelques photos. 

En bas, le bord du Lac m’attend pour une lecture et pour voir le petit Contest de Parapente.

Le lendemain, départ de Queenstown pour rejoindre Franz Josef Glacier et quelques 400 kilomètres par la route de la Westcoast (je n’en dis pas plus sur cette route, elle fera l’objet d’un article élogieux !).

Arrivé à Franz Josef Glacier, le village est tout petit et ne vit qu’autour de deux choses : le Glacier et le Hot Pools, ce dernier étant construit pour occuper les touristes qui ne font pas l’ascension, enfin je pense…

Je devais là-bas me prendre une journée d’ascension avec guide sur le glacier (obligation d’avoir un guide, et puis sans crampons ça glisse pas mal…) pour m’en mettre plein les yeux. En plus le soleil m’accompagne une nouvelle fois. Le tout moyennant 120€ (comprenant un accès aux Hot Pools). Et bien je ne sais pas trop pourquoi, malgré l’envie et une activité que j’avais coché dès le départ comme incontournable lors de mon périple et bien je ne l’ai pas faite… Je me suis contenté d’une petite balade à proximité du glacier, qu’on peut approcher à une distance de 200 mètres.

 Je n’ai pas de regret de ne pas avoir fait cette expédition, je sais que je réinvestirais cet argent dans des activités déjà sélectionnés dans d’autres pays… Et qui sait, il y aura peut-être l’ascension d’un glacier dans le futur ?!

Après ces 2h30 de balade dans Franz Josef, retour à ma voiture direction maintenant Nelson et encore une belle portion de route de 450 kilomètres. Mais une bonne partie sur la route de la Westcoast, alors la pilule passe facilement, très facilement !

Ps : Maud, tu m’avais dit avant mon départ que tu avais perdu ton pull favori lors de ton passage à Queenstown et après une soirée arrosée. Je l’ai cherché partout, et bonne nouvelle, je l’ai retrouvé. Je te le rapporte sans faute. En voici la preuve :

Vous pouvez retrouver d'autres photos dans la section "Photos Nouvelle-Zélande" dans la marge à droite.

Prochain épisode : Westcoast Road.